Venezdécouvrir le spectacle "j'abandonne une partie de moi que j'adapte" du 29 septembre au 01 octobre au Théâtre des 13 vents ! À l’été 1960, le cinéaste Jean Rouch et le sociologue Edgar Morin tournent à Paris un documentaire, dans lequel une question est posée à leurs contemporains : « Êtes-vous heureux ? ». On y parle [] par Yanik Comeau Comunik Média Inspirés par Chronique d’un été, la fascinante expérience filmique» pensée par le sociologue Edgar Morin et le réalisateur-ethnologue français Jean Rouch à l’été 1961, un docu-réalité» qui allait influencer toute une vague de cinéma vérité avec une simple question Êtes-vous heureux ?», la metteure en scène Justine Lequette et les comédiens-auteurs Rémi Faure, Jules Puibaraud, Benjamin Lichou et Léa Romagny proposent J’abandonne une partie de moi que j’adapte, un moyen-théâtrage de 70 minutes incluant un extrait crève-cœur du documentaire qui a créé un buzz au Off d’Avignon l’été dernier et qui tourne toujours en France et en Belgique. Claude Poissant et Nicolas Gendron, séduits par la proposition, ont eu la brillante idée de l’offrir au public montréalais en ouverture de saison à Fred-Barry. Écrite sous forme de laboratoire d’improvisation auquel on aura collé des extraits de films, d’une autre pièce Je te regarde d’Alexandra Badea et de l’œuvre maîtresse, le terreau qui aura vu naître les premières pousses, ce joyau d’une efficacité désarmante, un collage de scènes où les joints sont sans faille voire invisibles, est à la fois drôle et léger, critique et caustique sans tomber dans la morale assommante. On se laisse porter dans le début des années 60 par les comédiens qui, dans un décor amovible tout simple et des meubles sur roues, nous font revivre les premiers balbutiements des vox pop avant que ceux-ci envahissent les téléjournaux et deviennent d’insipides remplissages inutiles. Parce que Morin et Rauch n’ont pas seulement lancé la question Êtes-vous heureux ?» comme le fait la jeune Marceline au début du film le clin d’œil à cette ouverture – l’excellente Léa Romagny sur une balançoire s’adressant directement au public avec naïveté sur le thème du bonheur en début de spectacle – est à la fois rafraîchissant et efficace mais ont braqué la caméra sur leurs personnages pendant un assez long moment pour que ceux-ci en viennent à une introspection qui finit par être douloureuse… comme une psychothérapie qui fait le travail. Les interprètes sont formidables, incarnant une pléiade de personnages sans tomber dans la caricature sauf peut-être – et c’est clairement voulu – Jules Puibaraud, excellent en grandiloquent orateur/politicien/chef d’entreprise marchand de bonheur, pusher de la théorie du travail, c’est la santé». Comme dans le film de Morin et Rouch incarnés en première partie par Jules Puibaraud et Rémi Faure, plus on avance dans la pièce, plus le vernis s’égratigne, plus les couches décollent, plus la tristesse, le non-bonheur», l’insatisfaction parce que, qu’est-ce que c’est exactement, le bonheur, si ce n’est pas l’insatisfaction ? transparaissent. Comme quand on ne s’arrête pas au bon vieux Comment ça va ? – Ça va bien, toi ?». Est-ce que ça va si bien que ça ? Dans une puissante symbolique pourtant toute simple, on le remettra en question. Comme le faisait le film de Morin et Rouch. Et on sortira de la salle avec plus de questions que de réponses, mais n’est-ce pas là toute la raison d’être de l’art ? Bien sûr. Au-delà du message, on est transportés par les subtilités dans le jeu du quatuor. On apprécie les nuances dans les accents, on est impressionnés par le jeu vérité» qui ne glisse pas dans l’imitation. On passe un bon moment de théâtre et on se dit que la saison s’ouvre en beauté. On aime et on se questionne encore et toujours sur sa propre définition du une partie de moi que j’adapte initié et mis en scène par Justine LequetteÉcriture collective et interprétation Rémi Faure, Benjamin Lichou, Jules Puibaraud et Léa Romagny Une coproduction de Création Studio Théâtre National Wallonie-Bruxelle et Le Group Nabla Du 28 août au 7 septembre 2019 1h10 sans entracte Salle Fred-Barry Théâtre Denise-Pelletier, 4353, rue Sainte-Catherine, Montréal Réservations 514-253-8974 Thisis "J'abandonne une partie de moi, que j'adapte - Justine Lequette - Interview" by Théâtre National W-Bruxelles on Vimeo, the

EVENT Portrait Scènes ABRI ou les casanieres de l’apocalypse DOM JUAN HORIZONTALE J’abandonne une partie de moi que j’adapte Juste la fin du monde LABORATOIRE POISON 2 LOOKING FOR MARIE Othello Penthésilée Pink Boys and Old Ladies Séries A double jeu » Comment faites vous avec l’amour ? Commande Portraits PORTRAITS D’AMOURs Contact Benjamin Lichou, Rémi Faure, Jules Puibaraud Jules Puibaraud, Rémy Faure Léa Romagny et Benjamin Lichou Benjamin Lichou, Rémy Faure et Léa Romagny Jules Puibaraud et Léa Romagny Léa Romagny Léa Romagny et Rémy Faure Rémi Faure, Benjamin Lichou, Jules Puibaraud et Léa Romagny Léa Romagny Rémy Faure, Léa Romagny et Jules Puibaraud J'abandonne Rémi Faure, Benjamin Lichou, Jules Puibaraud et Léa Romagny Benjamin Lichou, Rémi Faure, Jules Puibaraud J’abandonne une partie de moi que j’adapte

Lespectacle J’abandonne une partie de moi que j’adapte inclut des extraits de : - La pièce Je te regarde d'Alexandra Badea, représentée et publiée dans son intégralité par L’Arche textes des films Attention Danger Travail et Volem Rien Foutre al pais réalisés par Pierre Carles, Christophe Coello et Stéphane Goxe et produits par C-P Productions. Théâtre J’abandonne une partie de moi que j’adapte Morlaix, 28 avril 2022, Morlaix. Théâtre J’abandonne une partie de moi que j’adapte Théâtre du Pays de Morlaix 27 Rue de Brest Morlaix 2022-04-28 – 2022-04-28 Théâtre du Pays de Morlaix 27 Rue de Brest Morlaix Finistère Avec un regard poétique et politique, Justine Lequette et le collectif Group Nabla interrogent le bonheur, questionnent ce qui nous rend heureux et le sens de nos vies. En 1960, Jean Rouch et Edgar Morin posaient ces questions aux passants, aux étudiants, aux ouvriers C’est quoi le bonheur pour toi ? », Comment vis-tu ? », Est-ce qu’il y a quelque chose en quoi tu crois ? », dans Chronique d’un été, première expérience de cinéma-vérité en France. La metteure en scène Justine Lequette s’empare de ce film et en restitue quelques passages marquants. Quatre comédiens s’amusent à en rejouer quelques scènes, pour faire dialoguer ces mots d’hier avec ceux de notre société contemporaine. Par des glissements entre théâtre documentaire, extraits de textes dramatiques contemporains et écriture de plateau, ils cheminent d’une époque à l’autre pour tenter de redonner à la question du bonheur toute sa beauté et sa vitalité. contact +33 2 98 15 22 77 Avec un regard poétique et politique, Justine Lequette et le collectif Group Nabla interrogent le bonheur, questionnent ce qui nous rend heureux et le sens de nos vies. En 1960, Jean Rouch et Edgar Morin posaient ces questions aux passants, aux étudiants, aux ouvriers C’est quoi le bonheur pour toi ? », Comment vis-tu ? », Est-ce qu’il y a quelque chose en quoi tu crois ? », dans Chronique d’un été, première expérience de cinéma-vérité en France. La metteure en scène Justine Lequette s’empare de ce film et en restitue quelques passages marquants. Quatre comédiens s’amusent à en rejouer quelques scènes, pour faire dialoguer ces mots d’hier avec ceux de notre société contemporaine. Par des glissements entre théâtre documentaire, extraits de textes dramatiques contemporains et écriture de plateau, ils cheminent d’une époque à l’autre pour tenter de redonner à la question du bonheur toute sa beauté et sa vitalité. Théâtre du Pays de Morlaix 27 Rue de Brest Morlaix dernière mise à jour 2022-01-03 par Leprojet J’abandonne une partie de moi que j’adapte est né de mon intérêt vif pour un film / documentaire de 1960 : Chronique d’un été, réalisé par Jean Rouch et Edgar Morin. Le processus même du film est porteur de sens; deux intellectuels, Edgar Morin et Jean Rouch, se réunissent autour d’un projet de film pour regarder et comprendre le monde qui les entoure. Ils Fiction documentée, dès 16 ans - Group Nabla Paris, été 1960. Répondant au micro d’Edgar Morin et Jean Rouch, un panel d’ouvriers, étudiants, employés, s’expriment sur leurs préoccupations et espoirs dans Chronique d’un été. Avec pour point de départ ce documentaire, quatre comédiens, emmenés par Justine Lequette, nous plongent dans un instantané de vie de la France d’alors. Phrasé désuet, vin rouge, swing et cigarettes, look et mobilier sixties, dessinent ce monde un peu oublié et nostalgique, entre les 30 glorieuses et mai 68. Changement de décor et d’ambiance, la deuxième partie du spectacle, contemporaine, dresse le parallèle entre ces deux époques. Séquences documentaires, extraits de pièces, de poésies, discours politico-économique, viennent nourrir cette écriture collective, sur la question du bonheur et la place du travail dans nos vies aujourd’hui. La superposition de ces deux regards met en exergue les dérives du capitalisme et les changements socio-économiques dans un monde qui, un demi siècle plus tard, est à la fois le même et bien différent. Un théâtre choral, comique et engagé porté par la notion de fiction documentée ».
Jecontinuais de marcher dans tous les sens et ça a marché !!! Car j'ai trouvé une sorte de bâtiment abandonné, en y entrant, toutes les portes était verrouillé sauf une, une porte rouge ( les autres étaient vertes ). En l'ouvrant, je trouva une énorme fleur avec un visage pleurant. Voici donc le prochain Pets que j'allais attrapé
Exercice pendant la canicule En fait, j'essaie de faire de l'exercice même pendant les canicules parce que ça m'aide à mieux gérer et supporter la chaleur. Mais laissez-moi prendre un peu de recul pour mieux expliquer. Hier sprechen Sie alle möglichen Korrektoren an, also würde ich ein Plural verwenden Quand il fait très chaud – c'est à -à-dire plus de trente degrés – j'ai tendance à me sentir assez languider et à vouloir rester la pluchez moi la majeure partie de la journée chez moi. „languir“ bedeutet schon „apathisch/schlaff sein““Eine kleine „kulturelle“ Bemerkung Nebensächliche Zusätze zu einem Hauptsatz werden eher zwischen Klammern ausgedrückt, nicht wirklich hinter Bindestrichen Là, il m'aide beaucoup d'avoir des rendez-vous et des événements répartis sur la semaine, qui m'empêchent de devenir trop paresseuxr. „rendez-vous“ bedeutet „Verabredungen“ oder „Rendezvous“ — beim Arzt, für die Arbeit usw. Wenn Sie einfach geplannte Aktivitäten meinen, dann wäre „activités“ besser Et le sport en fait partie. J'assiste à un cours de fitness une ou deux fois par semaine. assister À qqch Là, il y a une personne dans leau centre de la salle qui montre les exercices, et tout le monde l'encercle etse met autour de lui puis essaie de l'imiter. „encercler“ klingt sehr... militärisch -D„puis“ um zu vermeiden, „et“ zu wiederholen On fait une partie de la cardio et après une, partie plus courte de la musculationmusculation plus courte. In einem solchen Kontext würde es kein „de“ geben besonders in modernem, gesprochenem Französisch Le tout est accompagné par de la musique très forte et un peu chiante, soyons honnêtes et dure soixante-quinze minutes. „chiante“ ist sehr umgangssprachlich und sogar unhöflich in vielen Kontexten aber ich vermute, dass sie es schon wissenWeniger umgangssprachlich, aber akzeptabler = et un peu gonflante Pendant la canicule, lesa premières quinze ou vingt minutes sont de l'aine de minutes est un enfer. „quinzaine“ ist definitionsgemäß etwas Unklares es kann 15 oder 20 Minuten sein also können Sie den Satz einfacher machen, wenn Sie dieses Wort benutzen Mais après ça va et mon corps s'adapte. Et quand je sors de la salle de sport, la chaleur dehors est beaucoup plus supportable, et je me sens largement mieux. sortir DE qqchAm Anfang dürfen Sie „DONC, quand je sors [...]“ schreiben, wenn Sie vermeiden wollen, „et“ zu wiederholen Overall feedback & comment Two or more people need to make corrections in order for the corrections to be grouped. You need LangCorrect Premium to access this feature. Upgrade Jabandonne une partie de moi. que j'adapte Justine Lequette Création Studio Théâtre national Wallonie Bruxelles (Belgique) Voilà une pièce d'aujourd'hui, lauréate du Prix Impatience 2018, au ton apparemment léger, à la forme plaisante et très enlevée. Elle est née d'un film-documentaire de 1960, Chronique d'un été, primé au Festival de Cannes, où deux QnOla.
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